Une victoire de la géographie dans la guerre de l’eau : et après ?

Par Gérard-François Dumont
Français

Il était une fois un pays fort centralisé dans lequel quelques hauts fonctionnaires bien placés pensèrent que, pour le bien commun des territoires, il fallait tout gouverner à des échelles géographiques plus larges. Leur doctrine reposait sur un principe simple : big is beautiful[1], soit tout ce qui est grand est magnifique. Il en résulta des lois [2], dont l’une déclencha une « guerre de l’eau ». Cette dernière dura dix ans et se termina heureusement par une revanche de la géographie sur la technocratie d’État. Explication.

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